Te mana o te moana, la clinique des tortues
Parrainée par l’astronaute Jean-François Clervoy, l’association Te mana o te moana, « le pouvoir des océans », est située au sein de l’hôtel Moorea Intercontinental. Son centre de soin des tortues marines est accessible au public. Il recueille les tortues malades, blessées, mutilées, braconnées et saisies par les autorités ; met en place un suivi vétérinaire avant de les relâcher, si leur état le permet, dans leur milieu naturel. L’association est également à l’initiative d’actions pédagogiques, d’études des pontes et des migrations, et de programmes de recherche. 500 tortues ont été accueillies depuis la fondation de l’association en 2004.
Et le lien avec l’espace et l’aviation ?
Agnès Patrice-Crépin est pilote privée. Florence Ramioul, petite fille, voulait devenir pilote de ligne. Voilà pourquoi toutes les créations de la marque sont étroitement liées à l’aéronautique, la plupart issues de pièces ayant volé puis « surcyclées ».Dans le projet polynésien, outre la bienveillance et l’observation des océans dans l’écrin de l’univers par son parrain de l’espace, Jean-François Clervoy, le lien aérien est plus qu’évident. Les avions sont précieux à la vie des archipels, Jaques Brel en était le plus bel ambassadeur avec « Jojo », son magnifique bimoteur. La silhouette de la fleur de tiaré, si emblématique en Polynésie, pourrait aussi évoquer une hélice… rien d’étonnant à cela quand on sait que les premiers fabricants se sont inspirés de la botanique. Et ne dirions-nous pas que les tortues volent dans l’eau ?